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mieux être au travail

MIEUX-ETRE AU TRAVAIL : 7 pistes pour y parvenir !

En 2019, en France, 73% des salariés se sont déclarés satisfaits de leur qualité de vie au travail ! Ainsi, malgré les nouveaux facteurs de stress au travail (les exigences accrues de flexibilité, émergence de nouvelles formes de travail (virtuel par exemple), insécurité de l’emploi amplifiée par la crise économique actuelle etc.), le mal-être au travail n’est pas une fatalité !

L’article qui suit est largement inspiré des échanges que nous avons eus avec nos clients coachés.

 

Dans quels cas nos clients doivent-ils améliorer leur mieux-être au travail ?

Certains subissent du harcèlement moral, ou sont en plein burnout. Dans leur cas, la recherche du mieux-être au travail est délicate et nécessite un coaching de l’être avant tout. Ils ont besoin qu’on les écoute, que l’on nomme la situation qu’ils décrivent. Qu’on ne les juge pas.

D’autres ne s’entendent pas avec leurs collègues de bureau, leur responsable hiérarchique, et le vivent très mal.

D’autres encore pensent avoir « fait le tour de leur métier », et souhaitent en changer car ils ne s’y sentent plus à leur place.

Quant aux demandeurs d’emploi, ils ont vécu des moments parfois si difficiles en entreprise, qu’ils restent dans la crainte de voir se reproduire le même scénario dans leur futur emploi. 

Alors, quelle que soit votre situation professionnelle, quelles pistes de changement pouvez-vous explorer pour vous sentir mieux au travail ?

Piste n° 1 : écoutez ce que vous disent vos émotions, ce que révèle votre corps.

Trop de personnes n’écoutent pas les symptômes précurseurs du mal-être au travail (insomnies répétées, céphalées chroniques, soudaine dévalorisation de soi, de sa vie en général etc..). Elles attendent trop longtemps avant de changer d’attitude, et/ou de travail. Une bonne écoute de soi nécessite de laisser de côté la croyance selon laquelle « on doit tenir coûte que coûte ».Les personnes qui veulent être fortes en permanence sont de bons éléments pour leur employeur, certes, mais elles doivent absolument connaître leurs limites physiques et psychologiques, et apprendre à « mettre des STOP ». Les fleurs de Bach (Oak dans le cas présent) constituent un formidable outil que j’utilise lors de mes coaching.

Piste n° 2 : passez un « contrat » avec vos responsables hiérarchiques et vos collègues.

Au-delà du contrat de travail, il doit exister un contrat moral entre vous. Demandez-vous ce que vous êtes prêt à offrir, et faites en part à votre hiérarchie, à vos collègues, aux membres de votre équipe. Par ailleurs, clarifiez ce que l’on attend précisément de vous. Les attentes à votre égard peuvent être démesurées. Certaines personnes vont même au-delà de ce qu’on leur demande, et s’épuisent au travail, dans la vaine attente de signes de reconnaissance positifs. Si vous vous reconnaissez en lisant cette description, un changement d’attitude s’impose.

. Piste n° 3 : posez toutes les conditions nécessaires à votre bien-être psychologique et physique AVANT d’être recruté.

Bien souvent nos clients demandeurs d’emploi se positionnent comme étant inférieurs aux recruteurs (c’est la position de vie -/+). Le coaching leur permet alors de restaurer une image valorisée d’eux-mêmes, et ainsi ils osent poser les questions qui leur tiennent à cœur au cours du recrutement. Cela requiert de leur part une réelle prise de conscience de leurs besoins : « que leur manque-t-il pour être pleinement épanouis au travail ? ». Là encore, les fleurs de Bach aideront la personne à s’affirmer et à reprendre confiance en elle.

Piste n° 4 : vérifiez que vous ne vous êtes pas laissé entraîner dans des jeux psychologiques

En entreprise une majeure partie de l’énergie est dépensée aux cours de jeux de manipulation stériles. En prendre conscience grâce à des lectures appropriées, ou en vous faisant accompagner par un coach, vous permettra de les voir venir, et de refuser de jouer du triangle (je fais ici référence au triangle dramatique de Karpman)

Piste n° 5 : trouvez le juste équilibre entre vos 5 domaines de vie

Nous avons tous 5 domaines de vie (notre engagement social, notre vie de famille, notre vie au travail, notre épanouissement personnel, notre vie de couple). Nous les investissons à des degrés divers. L’essentiel réside dans le fait que la répartition de notre temps, et notre énergie, entre ces divers domaines de vie nous convienne (il n’y a pas de répartition idéale !). Si cette répartition vous pose problème (si par exemple vous ne voyez jamais vos enfants, ou si vous avez renoncé aux parties de football du dimanche matin), alors vous ne vous sentirez pas bien au travail.

Piste n° 6 : n’hésitez pas à quérir des signes de reconnaissance positifs auprès de votre entourage professionnel, et à en distribuer.

Nous avons tous besoin de signes de reconnaissance. Si votre entourage professionnel est avare de feed-backs positifs et que vous en souffrez, faites-lui savoir ! Votre bien-être au travail n’en sera que décuplé ! (demandez-lui par exemple : qu’est-ce que je fais de bien, et qu’est-ce que je pourrais faire encore mieux ?)

Piste n° 7 : Interrogez-vous sur l’image que les autres ont de vous

Je constate chez certains de mes clients une difficulté à apprécier leur impact en terme d’image. Certains sont surpris d’apprendre, au détour d’un entretien d’évaluation annuel, que les membres de leur équipe ont peur d’eux. D’autres s’étonnent que l’on ne les envoie pas en mission extérieure, alors  même qu’ils viennent de piquer des colères mémorables au sein de leur service. Quand votre image sera le reflet de votre identité profonde, vous aurez LA bonne image. Si vous ne prenez pas la peine de vérifier ce que les autres pensent de vous, si vous ne leur donnez pas les clefs pour mieux vous comprendre, des problèmes relationnels importants peuvent naître, et vous empêcher d’être épanoui au travail.

 

En conclusion, j’ai bien conscience du fait qu’il soit « facile » de donner des pistes d’amélioration lorsque l’on est extérieur à l’entreprise. J’ai également conscience du fait qu’une personne subissant du harcèlement moral, par exemple, doive d’abord se reconstruire, et ne soit pas en position de suivre ces pistes. L’organisation et la hiérarchie doivent aussi prendre leur part de responsabilité. Cependant, autorisez-vous à être pro-actif !!

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